École Directe

ensemble scolaire depuis 1942

Une histoire riche qui affirme cette volonté de partager, d'aider et de révéler.

Sainte Marie Eugénie de Jésus

Comment présenter un historique de l’Assomption Montpellier sans parler de la fondatrice de la congrégation des Religieuses de l’Assomption, Marie-Eugénie Milleret ?

Sainte Marie Eugénie de Jésus

Marie-Eugénie Milleret est née en 1817 à Metz. Après 1830, ses parents se séparent et elle part vivre à Paris avec sa mère qui sera brutalement emportée par le choléra. Elle est alors recueillie par une riche famille amie à Châlons. Son père la fait ensuite revenir sur Paris.


En entendant prêcher l’abbé Lacordaire à Notre-Dame, elle se prend de passion pour le renouveau du christianisme de Montalembert et de Lammenais. Après sa rencontre à Saint-Eustache avec l’abbé Combalot, elle accepte de fonder, à l’âge de 22 ans, la congrégation des Religieuses de l’Assomption.


En 1838, elle rencontre l’abbé d’Alzon, fondateur de Pères de l’Assomption, avec qui elle entretiendra une grande amitié de 40 ans. Rome reconnaît la Congrégation des Religieuses de l’Assomption en 1867. La croissance de celle-ci est une lourde charge pour elle.

Entre 1854 et 1895, de nouvelles communautés naissent en France, puis un peu partout dans le monde. Marie-Eugénie enchaîne voyages, constructions, demandes à étudier, décisions,…

le PAEA, un projet apostolique et éducatif d'ensemble

L'ASSOMPTION MONTPELLIER

C’est à cette période, en 1874, qu’une communauté arrive à Montpellier. Elle s’installe rue de la providence. Deux ans plus tard, les religieuses déménagent au 24 rue du Carré de Roi, dans une villa du XVIIIe siècle, la « villa Prunarède », qui devient alors le Prieuré Saint- Jean. Elles y ouvrent, sur demande de l’évêque de Montpellier, Monseigneur de Cabrière, un externat pour les jeunes filles issues de la haute bourgeoisie montpelliéraine ou de propriétaires terriens.

En 1879, le Prieuré accueille en externat ou en internat des jeunes filles de toute la région. La chapelle est construite sur le côté de la villa.

La maison est fermée en 1906, suite à la séparation de l’Eglise et de l’Etat,  et les religieuses sont dispersées. Elle est réouverte en 1923.

Dans les années 40, l’école paroissiale Sainte Thérèse est créée au fond du parc. Le nombre d’élèves grandissant, un large bâtiment aligné sur la rue Portalière des Masques est construit.

Dans les années 60, lors de l’apparition des contrats, l’école Sainte Thérèse devient le primaire, l’internat recevant quant à lui de la 7ème à la Terminale.

En 1966, il y a signature d’un contrat d’association avec l’Etat, aménagement de la carte scolaire et fusion. Le 1er cycle reste au Carré du Roi, le 2nd cycle va à La Merci.

Les années 70 voient se construire  2 nouveaux bâtiments: le gymnase et les salles destinées aux sciences.

En 1980 la mixité apparaît. Il y a disparition de l’uniforme pour les élèves. A cette date, le collège en accueille environ 450. L’internat ferme ses portes 8 ans plus tard.

Arrive alors l’année 2000, pendant laquelle un nouveau restaurant scolaire et un bâtiment   «  sciences et technologie » sortent de terre.

En 2004, il y a fusion des associations de gestion de l’école Sainte Thérèse et du collège Assomption, ce qui entraîne la création de l’AGEA Montpellier (Association de Gestion des Etablissements Assomption).

En 2011, un nouveau gymnase plus grand plus fonctionnel est construit avec une salle de sport.

Depuis, 924 élèves passent tous les matins le portail du collège.

Quelques dates

Les années
40

1946 Construction du rez-de-chaussée et du préau (le CP actuels)

1947 Ouverture de par la volonté du père Régis de la paroisse Ste Thérèse et de la communauté de l’Assomption.

Directrice : Sœur Marie de Salles. Il y a deux classes.

1959 Directrice: Sœur Claire Madeleine. Au gré des contrats, le primaire Assomption St Jean va fusionner avec l’école Sainte Thérèse.

Les années
50
Les années
60

1961 Il y a sept classes. Le contrat simple est accordé pour trois classes.

1962 Un avenant au contrat simple reconnait quatre classes de plus, soit sept classes sous contrat. La directrice est sœur Etienne. Le préau est aménagé en quatre classes.

1966 On construit l’étage et une cantine préfabriquée. Jusque là, on mangeait dans le couloir.

1967 L’aménagement de la carte scolaire diocésaine entraîne la fermeture du primaire de La Merci, d’où un gros apport d’enfants au primaire de Sainte Thérèse: plus de cent enfants et trois enseignantes: J. Gayes, S. Sudry et M. Autès. Arrivée de Sœur Elisabeth comme animatrice de l’école. L’école a dix classes sous contrat.

1968 Directrice : Sœur Marie-Pierre.

1969 11 classes.

1970 12 classes.

1970 On construit le préau en face du grand bâtiment.

1973 Directrice: Mme. Autès.

1974 On construit les Buissonnets pour accueillir les CM2 rattachés au collège.

1976 14 classes. Les CM2 passent sous contrat Sainte Thérèse.

1977 On abat la cantine en préfabriqué et on construit en dur.

1978 On construit l’atelier avec un local pour le matériel de  gymnastique. L’atelier deviendra la bibliothèque et le local deviendra l’oratoire.

Les années
70
Les années
80

1980 On construit le bureau sur le palier du grand escalier. Un CP et une Grande Section sont transférés à Louis Martin.

1981 Mixité en CP à Sainte Thérèse. On installe la Bibliothèque.

Juin 1982 Départ de Sœur Elisabeth.

1982-1983 Louis Martin devient indépendant. Directrice: D. Therond. Il y a 3 classes de maternelles et un CP.

1984 L’école Louis Martin est à nouveau annexée à Sainte Thérèse: 4 classes sous contrat simple à Louis Martin et 14 classes sous contrat d’association à Sainte Thérèse. 18 classes: classes maternelles et 12 primaires (deux CM2, trois CM1, trois CE2; deux CE1 et deux CP).

1985 Le préau est transformé en salle de gymnastique avec un oratoire à côté. Il y a un CM2 de plus, soit 19 classes.

1986 On construit des nouveaux préaux contre le grand bâtiment et dans la cour des cerisiers. On passe à 20 classes, un CP de plus sous contrat fermeture de l’école du Petit Jardin.

1987 On construit le grand bâtiment des maternelles et retour des classes situées à Louis Martin. Il y a une modification de la structure des contrats : 5 classes maternelles et 15 classes primaires (un CE1 de plus).

1991 Sainte Thérèse rejoint Assomption France.

1993 On construit la salle informatique et la salle du personnel.

1994 Avenant demandé pour ouverture d’une classe maternelle en septembre refusé.

1995 Avenant demandé pour ouverture d’une classe maternelle en septembre refusé.

1996 On fête le cinquantenaire de l’école. En route pour le centenaire. « Il y a sans cesse un avenir à créer ».

A la rentrée, Mme Marie-Elise Hot succède à Mme Autès.

Les années

90

À partir des années

2000

2003 En avril, les préfabriqués des Buissonnets sont détruits pour être reconstruits en dur. Les 4 classes sont provisoirement hébergées à Louis Martin.

En septembre, ouverture du bâtiment des Buissonnets composé de 4 classes, une grande salle et des toilettes, et arrivée de Mme Catherine Causse-Cosso qui succède à Mme Hot à la direction de l’école.

2004 Fusion des Associations de gestion de l’école et du collège.

2007 (juin) Canonisation de Mère Marie Eugénie MILLERET à Rome, fêtée à Montpellier le 1er décembre à la Cathédrale Saint Pierre, messe présidée par Monseigneur Thomazeau, suivie d’un repas réunissant communauté des sœurs, anciens élèves, enseignants, personnel, parents et élèves.

2015 Changement de direction, Mme Lecou-Sigal succède à Mme Causse-Cosso.

A partir 2016 Lancement d’un projet de rénovation et de mise aux normes de l’établissement (un des objectifs: favoriser la cohésion d’équipe par la modulation architecturale)

2017 Acceptation part le rectorat d’un poste d’enseignant spécialisé à mi-temps.

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